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PSYCHOTHERAPIE

 

 Thérapeute – Accompagnante – Soutien

Ados / Adultes

 

 

 

Mon approche thérapeutique

Mon approche thérapeutique est donc basée sur la prise en compte globale de vos besoins refoulés donc cachés, par une écoute attentive des détresses et un accueil total des émotions. Je souhaite vous accompagner vers une revalorisation de votre être, de votre "côté humain des êtres humains".

Ces mécanismes bloqués créent chez l'individu des pensées "à l'envers", sclérosées, un "mal-être" voire des détresses incomprises qui peuvent ressortir sous formes de violence ou autres. Ces bloccages émotionnels ayant formé une empreinte, des expériences de souffrance ( castrations, vexations, violences etc...) ont entaché profondément le "moi réel", il est donc primordial de désamorcer ce courant "négatif descendant" pour gravir les marches d'un mieux être que le Dr Harvey Jackins a nommé si justement "courant ascendant ".

 

 

 

 

Comme second élément, le conditionnement social renforce cette irréalité. Il entretient les manques à travers des éléments stéréotypés de substitution. L'étude des faits sociaux m'a permis de mettre en évidence les disparités, les incohérences, les phénomènes oppressifs des stéréotypes masculins-féminins.

De manière générale, un stéréotype réduit considérablement notre vision du réel, en caricaturant l'opinion que l'on peut se faire de soi ou des individus dans un cadre de référence donné, donc admis par la plupart des gens. Plus précisément, nous pouvons constater que c'est bien dans l'e couple que ceux-ci sont mis en exergue et jouent constamment, détruisant peu à peu la relation.

Bien évidemment, biologiquement, il y a une différence réelle entre le féminin et le masculin. Mais, plus précisément, cette différence peut nous accuser. Car, nos conditionnements sociaux ont un impact sur notre vision du féminin et du masculin nourrie par une caricature constante, un modèle type idéologique, un mécanisme qui rejoue sans cesse le système "adversaire-partenaire" ( Pierre Bourdieu "La domination masculine"). Mécanisme que nous retrouvons plus ou moins à petites doses dans toutes les relations humaines.

Au-delà de nos blessures psychiques, c'est à partir d'e ceux-ci que se créent une disparité, de véritables incompréhensions dans les relations. Plus encore, le conditionnement social contient un modèle de domination de base archaïque et archétypal, qui comprend le rejet systématique non des femmes, mais du féminin qui intervient sur nos choix les plus affirmés. Ce modèle nommé par certains psychanalystes "la machine phallique" donne le droit au modèle dominant de régner sur tout autre système.

Notamment, nous pourrions aller plus loin en parlant d''une certaine "identité phallocrate" reconnue par la plupart des individus. Ceci va donc au-delà d'u modèle patriarcal, appelation quelque peu "romantisée", contenant encore les mots "père ainsi que sécurité". La réalité se situe malheureusement bien au-delà de ces sphères.

Actuellement, ce modèle de domination ou "loi phallique" est admiré plus ou moins par tous. La libération des femmes s'oriente ( du moins pour certaines )vers ce que je nommerai volo,ntiers une "idéologie dominante" à reproduire absolument, au détriment de "leur côté humain des êtres humains" qu'elles avaient eu l'opportunité de sauvegarder jusque là, différemment des hommes. Pourquoi ? Parce que jadis la possibilité pour le féminin de ressentir émotions et sentiments était une valeur perçue comme conforme et "valorisée". Ce phénomène positif s'intégrait naturellement à partir d'une éducation stéréotypée négative de passivité et de soumission.

Comme vous l'avez sans doute compris, lors de mes études, peu de "psys" ont révolutionné mes espérances et ma pensée. Ne pas considérer l'importance de notre humanité, c'est placer comme secondaire la question fondamentale que pose l''irréalité hunaine et du "comment se libérer" de ce processus infernal qui nie constamment nos sentiments et nos émotions. Cette négation entraîne de nombreux travers tels que par exemple "le déni", qui n'est donc pas seulement un mécanisme de défense, il est selon le Dr Janov une véritable maladie.